Ayant commencé à planifier le futur poste de travail de la travailleuse à l'aiguille, se trouve tout de suite être défini : il est combien d'à la place dans la maison résulter mettre en relief pour cela. Il vaut mieux, s'il y aura pour cela une pièce séparée.
Malheureusement, l'armoire-décharge coûte cher, même si le faire personnellement. Et si aux périodes initiales il n'y a pas de possibilité d'acquérir l'objet si nécessaire des meubles, on peut aménager le poste de travail de la travailleuse à l'aiguille par les mains.
Plus immense de tels meubles est la possibilité de la fermer après l'utilisation, grâce à quoi sur l'équipement et fournitourou ne se trouvera pas la poussière et la lumière solaire.
Par quoi commencer ? Du choix de la situation. Puisque n'importe quel ouvrage, excepté le talent et les mains habiles, demande la vision aiguë, le poste de travail de la travailleuse à l'aiguille doit être toujours bien éclairé.
Si la broderie, skrapboukingom, l'ouvrage, le tricotage, la peinture et la chose semblable donne à l'étude pratiquement tout le loisir, aménager à elle-même le coin pour le travail il est simplement nécessaire.
En général, une telle armoire au centre est équipée d'une petite petite table ouvrière, qu'au désir on peut décomposer. De deux côtés le poste de travail central et sur les portes, on dispose la multitude de rayons et les tiroirs pour l'équipement, fournitoury et les documents ouvriers. Aussi dans une telle armoire il y a une lampe ou même un peu.
Malheureusement, la plupart des ouvrières nationales vivent dans les appartements, où consacrer le cabinet entier pour l'ouvrage – le luxe inadmissible. Le maximum, sur quoi on peut compter est un coin séparé ou l'armoire-décharge.
Si à l'ouvrage est donné d'habitude pas plus d'heure par semaine, mais et par mois, il n'y a pas de sens de dépenser un tas de temps pour l'aménagement du coin ouvrier.
Il est plus facile de garder les outils et les tissus pour l'ouvrage dans quelques boîtes dans l'armoire, en les prenant en cas de besoin.